Auteurs / Livres
Écueil de textes
Parution : 2023
« Je crains bien que l’enfant qui cueille une fleur pour la première
fois, écrivait Henry David Thoreau, n’ait une intuition de sa beauté et de sa
signification que le botaniste ensuite ne gardera pas. »
Et si le poète se chargeait, cette fois, de construire le manuel de
botanique, notant ses observations émerveillées sur chaque espèce, les
cueillant en poèmes tous classifiés selon une logique élevant à la fois savoir et ignorance ? Voilà ce que propose Edith Pineault avec Herbier : une rencontre du végétal dont on ressort avec une connaissance de soi approfondie à la mesure de celle que l’on a acquise de l’autre.
Jean-Michel Béchard naît en 1977, ensanglanté tête devant comme le premier des combattants. Enfant, il accomplit les stades oral, anal et phallique avec grand succès. Père, frère, oncles, il hérite de l’ingénierie mais opte pour la psychologie. À la suite d’études universitaires, il pratique la folie quelques années, ici et ailleurs.
Tantôt Europe, Afrique ou Amérique, tantôt Arctique, on l’aperçoit courbé sous le poids de son énorme pack-sack puis on l’entend dans de diverses langues, courbé aussi sous le poids de son accent. Vin blanc en Suisse, vin nouveau en France, bière de blé en Allemagne et ale en Angleterre, le voyage est, dit-on, très formateur. L’heure de l’apéro terminée il continue à globe-trotter, dans le chaud du Bénin d’où il rapporte ce souvenir chronique dans ses bagages, une diarrhée, puis dans le froid du Nunavut parmi des fonctionnaires inuits. Largué de l’avion après presque une décennie de voyage, au milieu d’un fleuve St-Laurent toujours en route vers les océans, il se raccroche de justesse à l’île de Montréal, sa ville natale.
Comme tous les auteurs qui voudraient être écrivains, il est professeur de français. Des étudiants affirment l’avoir aperçu au-devant de certaines salles de classe. Gravement atteint de calvitie depuis peu, les médecins ne lui donnent que quelques décennies encore à vivre.
Écueil de textes
Parution : 2023
Ce recueil de récits de vie rassemble des histoires vibrantes de
confidence et d’humanité qui ont été recueillies auprès de personnes aînées du Québec et à l’étranger. L’auteure les raconte à sa grand-mère Simone qui, à son décès, a fait naître ce projet.
Cet ouvrage est aussi un rappel de la richesse et de l’importance des
liens intergénérationnels dans une ère où ils sont de plus en plus fragilisés.
Une vingtaine d’histoires d’amitié et presque autant de paysages tissent
ici un itinéraire vivant où la rencontre et le partage retrouvent leur grandeur infinie.
Comme l’a si bien décrit le réalisateur Fernand Dansereau dans la
préface du livre, Simone et tous les autres est « un chant d’accueil, d’écoute et finalement d’affection pour une cohorte de fabuleux personnages ».
Jean-Michel Béchard naît en 1977, ensanglanté tête devant comme le premier des combattants. Enfant, il accomplit les stades oral, anal et phallique avec grand succès. Père, frère, oncles, il hérite de l’ingénierie mais opte pour la psychologie. À la suite d’études universitaires, il pratique la folie quelques années, ici et ailleurs.
Tantôt Europe, Afrique ou Amérique, tantôt Arctique, on l’aperçoit courbé sous le poids de son énorme pack-sack puis on l’entend dans de diverses langues, courbé aussi sous le poids de son accent. Vin blanc en Suisse, vin nouveau en France, bière de blé en Allemagne et ale en Angleterre, le voyage est, dit-on, très formateur. L’heure de l’apéro terminée il continue à globe-trotter, dans le chaud du Bénin d’où il rapporte ce souvenir chronique dans ses bagages, une diarrhée, puis dans le froid du Nunavut parmi des fonctionnaires inuits. Largué de l’avion après presque une décennie de voyage, au milieu d’un fleuve St-Laurent toujours en route vers les océans, il se raccroche de justesse à l’île de Montréal, sa ville natale.
Comme tous les auteurs qui voudraient être écrivains, il est professeur de français. Des étudiants affirment l’avoir aperçu au-devant de certaines salles de classe. Gravement atteint de calvitie depuis peu, les médecins ne lui donnent que quelques décennies encore à vivre.
Écueil de textes
Parution : 2023
« Je crains bien que l’enfant qui cueille une fleur pour la première fois, écrivait Henry David Thoreau, n’ait une intuition de sa beauté et de sa signification que le botaniste ensuite ne gardera pas. »
Et si le poète se chargeait, cette fois, de construire le manuel de botanique, notant ses observations émerveillées sur chaque espèce, les cueillant en poèmes tous classifiés selon une logique élevant à la fois savoir et ignorance ? Voilà ce que propose Edith Pineault avec Herbier : une rencontre du végétal dont on ressort avec une connaissance de soi approfondie à la mesure de celle que l’on a acquise de l’autre.
Jean-Michel Béchard naît en 1977, ensanglanté tête devant comme le premier des combattants. Enfant, il accomplit les stades oral, anal et phallique avec grand succès. Père, frère, oncles, il hérite de l’ingénierie mais opte pour la psychologie. À la suite d’études universitaires, il pratique la folie quelques années, ici et ailleurs.
Tantôt Europe, Afrique ou Amérique, tantôt Arctique, on l’aperçoit courbé sous le poids de son énorme pack-sack puis on l’entend dans de diverses langues, courbé aussi sous le poids de son accent. Vin blanc en Suisse, vin nouveau en France, bière de blé en Allemagne et ale en Angleterre, le voyage est, dit-on, très formateur. L’heure de l’apéro terminée il continue à globe-trotter, dans le chaud du Bénin d’où il rapporte ce souvenir chronique dans ses bagages, une diarrhée, puis dans le froid du Nunavut parmi des fonctionnaires inuits. Largué de l’avion après presque une décennie de voyage, au milieu d’un fleuve St-Laurent toujours en route vers les océans, il se raccroche de justesse à l’île de Montréal, sa ville natale.
Comme tous les auteurs qui voudraient être écrivains, il est professeur de français. Des étudiants affirment l’avoir aperçu au-devant de certaines salles de classe. Gravement atteint de calvitie depuis peu, les médecins ne lui donnent que quelques décennies encore à vivre.